Chacun viendra avec ses doutes ou ses certitudes, son enthousiasme ou le sentiment que l’on ne s’en sortira jamais », chacun repartira plus RICHE de ce que procure « l’en commun » de ceux qui, au-delà de leurs différences, de leur expérience selon les âges, les parcours de chacun, savent bien qu’ils sont du même côté de cette BARRICADE !

Qui n’en a que deux ... (de côté !)

Qu’en face, les mêmes sont toujours arcboutés sur leurs pouvoirs pour barrer le la route du Bonheur Collectif.

Qu’ici certains continuent d’appeler du joli mot de COMMUNISME, qu’en face ils caricaturent en faisant référence à ce qui, dans l’histoire a été hélas un objectif d’espoir que beaucoup ont sali.

Dans cette Société du « chacun pour soi », oui le « tous ensemble » a du mal à s’imposer avec force et détermination.

Certes le syndicat, l’association du quartier, sont fort heureusement investis par des militants dévoués, inconditionnels « avocats des petits », ceux que Hollande nomme les « sans dents » avec un mépris en phase avec sa politique de parfait exécutant des mauvais coups quotidiens des Patrons qui voudraient nous ramener au Moyen âge.

Nous pouvons les faire reculer et les BATTRE, pour éviter que la Barbarie soit l’avenir de nos enfants.

Nous avons besoin, pour compter, de nous compter

Notre Association, les ROUGES VIFS n’est pas en concurrence avec ce qui existe d’organisations, partis, associations. Nous ne voulons débaucher personne, et chacun peut renforcer de sa personnalité un COLLECTIF qui n’a comme ambition que d’être UTILE pour que les politiciens de DROITE, ou ceux dits de « Gauche », voire les descendants des fascistes, ne nous barrent la route au bonheur.

Car le bonheur c’est NOUS !

Pour offrir des perspectives politiques aux luttes présentes et à venir.

Pour construire collectivement le point de vue communiste, révolutionnaire et moderne, inédit.

Pour le faire connaître, le renforcer et ainsi peser dans le débat politique national, tant dans la population, que dans les organisations progressistes.

Parce que nous avons besoin, pour compter, de nous compter,

Parce qu’il n’y a, comme le disait Elsa Triolet, « que deux côtés de la barricade ».