La mort d’un « salaud » !

dimanche 2 avril 2017
par  Canaille le Rouge
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Canaille le Rouge installe ici le drapeau de l’Algérie indépendante, parce que cela l’aurait mis en rage et que flottant il est le symbole de sa défaite. La canaille le met aussi en mémoire de la lutte d’un peuple qui a ramené dans les mémoires celui dont il est ci-dessous question à son niveau de déchéance.

En mémoire des plus de 2000 morts des populations civiles de Skikda (la « Philippeville » de l’ère colonial) massacrés en 1955

Celle de Larbi Ben M’hidi et Ali Boumendjel, de Maurice Audin, qu’il a assassiné, des milliers de patriotes torturés éliminés et et ensuite disparus en Algérie

Pour se souvenir aussi des victimes de ses enseignements aux bourreaux des peuples du Vietnam au Brésil, du Chili à l’Afrique noire.

Canaille le Rouge vous informe que la planète supporte un tortionnaire de moins ; Aussaresses, a cassé sa pipe.

L’image de la déchéance, symbole de la barbarie qu’il commença par combattre comme résistant dans les FFL, avant de basculer dans la bauge de l’inhumanité comme tortionnaire, tueurs, professeur de tortures et de meurtre, le théoricien et encadrant des Berets Verts US à l’état major de la DINA de Pinochet, fier de ces pratiques vient de finir son parcours.

Dans ce moment c’est un peu de pollution atmosphérique qui recule, un peu de printemps en plus. C’est un Klaus Barbie formé à l’école française de la répression et de la violence coloniale qui cadanche.

La Canaille qui est capable de retenue à la mort d’un adversaire, de ne rien dire lors de celle d’un ennemi, pour ce coup-ci se réjouit de voir la surface de la terre débarrassé de la présence de ce salaud.



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