"Je ne suis pas communiste chinois et je ne le serai jamais" C’est par ces mots que le sénateur socialiste commence un article sur la situation au Tibet dans lequel il dénonce ce qu’il appelle l’opération contre la Chine et les J.O.

Il pose la question : "l’enquête « d’arrêt sur image » rapporte que les « évènements du Tibet » ont commencé par un pogrom de commerçants chinois par des « tibétains ». Dans quel pays au monde de tels évènements restent-ils sans suite répressive ?".

Il poursuit en dénonçant l’attitude de Robert Ménard en faisant pour cela référence à Maxime Vivas, un auteur qui nous est cher à Rouge Midi et qui a publié un livre fort instructif sur la face cachée de RSF.

Il rappelle que "Le Dalaï Lama et les autres seigneurs tibétains ont accepté tout ce que la Chine communiste leur proposait et offrait, comme par exemple le poste de vice président de l’assemblée populaire que « sa sainteté » a occupé sans rechigner. Cela jusqu’au jour de 1956 où le régime communiste a décidé d’abolir le servage au Tibet et régions limitrophes. Dans une négation des traditions, que j’approuve entièrement, les communistes ont abrogé les codes qui classaient la population en trois catégories et neuf classes dont le prix de la vie était précisé, codes qui donnaient aux propriétaires de serfs et d’esclaves le droit de vie, de mort et de tortures sur eux.". A ce sujet il donne des éléments très éclairants sur ces religieux et leur gouvernements en exil présentés partout comme des pacifistes souriants.

Il dément tous les écrits et propos sur l’extermination tibétaine, puique le nombre de tibétains a plus que doublé depuis 59, le taux de scolarité y est passé de 2% à 81% et l’espérance de vie de 35 à 67 ans.

Il finit en dénonçant le rôle de l’occident et particulièrement de la CIA et celui du gouvernement en exil dans les évènements actuels.

Un article à lire donc pour avoir un autre point de vue sur le Tibet...

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