L’époque que nous continuons à vivre démontre une fois de plus ce que donnent des décennies de déréliction...intellectuelle, politique, scientifique,philosophique...Autrefois, au sein ou autour d’un courant transformateur on trouvait des scientifiques (honnêtes) de grande compétence, des intellectuels de qualité (et même des artistes de talent) .Aujourd’hui tous les « lits-dheures » d’opinion, politiques ou syndicalistes ont véhiculé clairement le discours gouvernemental. Vaccinez-vous qu’ils disaient et s’il critiquaient le démembrement de l’hôpital public (pour le moins) ils clamaient à l’injustice quand les pays pauvres ne pouvaient pas « vacciner ». Ils étaient même incapables de constater que les pays non « vaccinés » s’en sortaient nettement mieux que les riches « vaccinés ». Incapables de s’interroger sur un produit baptisé vaccin mais qui était en fait un traitement génique avec lequel on jouait aux apprentis sorciers pour...pour...pour ? Pour redonner du souffle au capitalisme trouvant là sa rentabilité suprême et permettant de mettre au pas, grâce à la peur, tous les peuples de la planète. Quelle étrange unanimité...peut-être parce que les députés, eux, n’étaient pas contraints de se faire piquer ? Peut-être ?...Seul Philippot a osé s’élever vertement contre ces produits dangereux. Ah, il n’est pas de gauche ou de gôche ? Ben non. Mais comme avait dit à peu près Guy Bedos : « s’il fait moins quinze et qu’un facho dit qu’il fait froid je ne v ais pas dire qu’il fait chaud pour me démarquer de l’extrême droite »...
J’arrête, je vais m’énerver.
Méc-créant.
(Blog : « Immondialisation : peuples en solde ! » )